Ø Impositions palmaires sur les lobes (de chaque côté), le chakra coronal (le dessus de la tête) et le troisième œil (un tout petit peu au-dessus du milieu des yeux). Procédez de la même manière avec les impositions palmaires circulaires. Vous agissez sur la globalité, donc pas d’imposition digitale ou perforante. Alternez les différentes techniques des impositions pendant 5 à 15 minutes jusqu’à ce que l’intensité dans vos mains disparaisse ;
Ø Les passes rapides qui partent du haut de la tête jusqu’au milieu du ventre (plexus solaire). Procédez ainsi une dizaine fois ;
Ø Le souffle chaud va être effectué sur les premiers chakras. Faites environ 10-15 fois sur le chakra coronal (la tête), le troisième œil (un peu au-dessus du milieu des deux yeux), le chakra de la gorge, le chakra du cœur pour finir sur le chakra solaire ;
Ø L’application des mains au(x) même(s) endroit(s) que les impositions sur la tête (les trois points de la tête) et au niveau du plexus solaire (estomac). Utiliser les deux mains simultanément pour faire circuler l’énergie (une main au niveau de la tête et l’autre au niveau de l’estomac ou une main de chaque côté de la tête). Pour la migraine, main sur la tête plus une sur le foie.
I – La peau
Les problèmes de peau sont très fréquents et les résultats du travail magnétique sont souvent « extra-ordinaires ». Si jusqu’à présent nous avons évoqué les impositions, le souffle, les passes et les application, nous rajoutons une nouvelle technique utilisée par de nombreux magnétiseurs : la prière.
Comment fonctionne une prière ?
Comme dans toute pratique du magnétisme, elle se fait avec l’intention de et se trouve souvent accompagnée du souffle. Pourquoi la prière fonctionne ? Car derrière ces mots, ce sont les intentions des centaines, des milliers voir des dizaines de milliers de personnes qui agissent en même temps (création d’un égrégore). Les prières se récitent souvent (mais ce n’est pas une obligation) à voix basse et sont accompagnées d’un signe de croix réalisé soit avec le pouce, soit avec le souffle. Le signe de croix est généralement répété trois fois. Les prières qui vous sont présentées ici sont courtes. Vous pouvez les noter dans votre portefeuille et après deux ou trois réalisations vous les connaîtrez par cœur. Si la technique des prières vous passionne (certains magnétiseur ne travaille que de cette manière), vous pouvez consultez les ouvrages de Dominique Camus qui regroupent un très grand nombre de prières de magnétiseurs pour de nombreuses pathologies.
II – Les brûlures -le zona
Certains magnétiseurs ne traitent que des brûlures. Ils utilisent souvent dans ce cas la prière. Les autres techniques présentées sont là-aussi tout aussi efficace (sauf l’effleurement qui peut faire souffrir la personne. Avec le feu revient la notion de polarité et l’on va donc faire un souffle froid ou utiliser sa main froide (généralement la main gauche) si ont agi avec ces parties de notre corps.
Les brûlures sont ici évoquées avec le zona car il s’agit de deux pathologies qui chauffent et qui se soignent de la même manière.
Au niveau des mains peuvent se soigner de deux manières (qui peuvent être complémentaires). La prière, accompagnée de la force de l’intention et le souffle froid qui vient apaiser la douleur.
La prière, (en voici plusieurs – à vous de choisir celle qui vous parle le plus), est à prononcer à voix basse ou haute, trois fois en plaçant en même temps la main froide sur la zone à traiter et/ou le souffle froid. Les signes de croix correspondent à l’application du signe de croix sur la partie lésée, soit avec la main, soit avec le souffle :
Faut-il croire en dieu pour couper le feu avec les prières ? Il n’est pas nécessaire d’être croyant mais le travail de foi est essentiel. |
« Ô Dieu apaise ta brûlure, comme Judas apaisa sa fureur en lapidant notre Seigneur Jésus sur le Mont des Oliviers ».
« Feu, perd ta chaleur, comme la Sainte Vierge perdit sa couleur, en enfantant notre Seigneur + + + ».
Il faut par la suite trois signes de croix puis les souffles. Autre exemple :
« A la fontaine de Saint-Mathieu, il y avait trois brigands qui voulaient brûler le bon Dieu. Saint-Mathieu leur dit, ne brûler pas le bon Dieu, brûlez-moi à sa place. Il se mit sur la bouche du four et le feu s’éteignit ».
Du côté magnétisme, vous pouvez procéder (ou compléter) à des impositions palmaires circulaires, des passes transversales et du souffle froid.
Sans être une brûlure à proprement parler, le zona (mal purement psychologique) provoque des sensations qui s’en rapprochent. Procédez à des impositions palmaires sur la zone à traiter et à l’origine de la douleur. Comme le zona suit le chemin des nerfs, il faut travailler également à son regroupement général : au niveau du bas du cou lorsqu’il a lieu au niveau des membres supérieurs ou en bas du dos pour les membres inférieurs.
Tout comme pour le feu (qui est similaire au niveau des sensations au zona), vous pouvez remplacer et/ou compléter le travail de la main par une prière (à utiliser toujours avec la plus grande conviction). Par exemple :
« Je te conjure, grand feu ardent, par le grand Dieu vivant, de perdre ta chaleur, ainsi que ta laideur, comme Iscariote fit au jardin des olives + + + » à répéter trois fois.
III – Les verrues
Souvent d’origine inconnue (associée dans l’inconscient collectif à la fréquentation des piscines), les verrues se situent souvent au niveau des mains, du visage ou des pieds. Sans danger pour l’homme, elles sont handicapantes au niveau esthétique. Pour traiter les verrues ou toute autre forme de pathologie, le mieux est de se former au magnétisme, de découvrir les rouages du magnétisme par un magnétiseur professionnel. Vous pouvez apprendre cet art millénaire par une formation magnétisme en ligne ou par une formation magnétisme en présentiel.
Magnétisme : installez la personne en fonction de la localisation des verrues (allongée pour les pieds, assis pour les mains…). Les verrues se traitent souvent en quelques minutes. Les verrues qui ont été brûlée antérieurement avec de l’azote liquide ont tendance à être plus résistantes et nécessites souvent une deuxième intervention.